1/2 finale

Le Belge Frank De Bleeckere a été désigné par l'Union européenne de football pour siffler une demi-finale retour de la Ligue des Champions. Ce sera le 1er ou le 2 mai.
L'UEFA ne fera connaître que le 29 ou 30 avril laquelle des deux rencontres sera dirigée par Frank De Bleeckere, assisté de Peter Hermans, Mark Simons et du 4-ème officiel Paul Allaerts.

Il s'agira pour Frank De Bleeckere de sa sixième rencontre de Ligue des Champions cette saison après avoir déjà officié lors de Benfica-Manchester United, Chelsea-Barcelone, Inter Milan-Sporting Lisbonne, Real Madrid-Bayern Munich (8-ème finale), et Chelsea-Valence (quarts de finale).

une bonne nouvelle pour le corp arbitral belge qui semble etre de meilleur qualité que le championnat de foot belge

ouais et pourtant de bleeckere n'est pas considéré comme le meilleur arbitre belge selon les classements en Belgique; ce qui est ridicule

ah bon, c'est quand meme bizarre, que dans ce cas, cela soit lui qui soit choisi

Ouais fin lui je le connais ce mec là Il était assez bon dans mes souvenirs

ouais il ne fait pas trop de fautes et est assez bon

de toutes facons heureusement que tous les arbitres internationnaux peuvent arbitré sinon y'en a qui resterais a la maison souvent

Ouais c'est clair, mais ils commettent tous des bévues un jour où l'autre, et là on leur tire dessus à boulet rouges

ouais comme le jamaicain ou graham poll qu'on écarte joliment des compet mtn

Ouais, le mec qui a sorti 3 jaunes à un joueur avant de le sortir, c'est mythique ça Le pauvre il a craqué

et le jamaicain qui refuse le but à wilmots face au bresil avant de le reconnaitre valable

hé hé hé hé, tfaçon le Brésil aurait gagné, ne rêve pas trop

ManU - Milan AC : 3-2

milan menait 1-2 et manu en a remis 2 mais bon les buts à l'extérieur font mal

tres beau match j'ai regarder, un des meilleurs que j'ai vu, deux tres belles equipes

chelsea- liverpool 1 à 0 grace a une passe lumineuse de drogbaa

Foot - C1 - «Une puissance hors du commun»

Pour Angel Marcos, Chelsea avait délibérément fait le choix de laisser le ballon à Liverpool pour exploiter ses immenses qualités physiques en contre. Pari gagné. « L'équipe qui a remporté la deuxième demi-finale est celle qui a su imposer ses règles. De façon consciente, Chelsea a refusé obstinément de faire le jeu contre Liverpool. L'idée semblait être de ne pas prendre le moindre risque, de ne pas faire plus de deux ou trois passes, car la décision prioritaire était de ne pas encaisser de but. Chelsea a procédé par des ballons longs, a attendu Liverpool relativement bas, en misant sur ses capacités de contre. Le prix à payer était de laisser le ballon au milieu de Liverpool. Chelsea n'a pas les armes pour lutter dans cette zone avec Liverpool, qui utilise toute la largeur, possède une qualité de passe exceptionnelle et s'appuie sur une participation des attaquants et des arrières. Le risque, au moindre retard à la récupération, est de se découvrir derrière. Chelsea n'était pas prêt à le courir.


C'est en revanche une équipe d'une efficacité incroyable quand elle défend. Chelsea est un commando, composé de durs qui se battent jusqu'au bout quoiqu'il arrive. En faisant cadeau du ballon à Liverpool, l'idée était de procéder par des passes longues vers Drogba. Le fait que le but ait été rapide a confirmé Chelsea dans ses intentions. Pas de variété, pas de créativité : c'est décevant avec de tels joueurs, mais il y a plusieurs façons d'être efficace en football. Chelsea s'appuie sur une puissance hors du commun. L'analyse du but suffit à le démontrer. Joe Cole, le buteur se trouve dans sa propre surface au moment où part la contre-attaque. Or, une passe de 40 mètres, ça va vite. Drogba, il va vite aussi. Et pourtant Cole se retrouve à la conclusion avec deux ou trois autres joueurs, à l'autre bout du terrain. Les adversaires de Chelsea ont toujours du mal à tenir athlétiquement. Chelsea a fini plus fort que Liverpool dans les dix dernières minutes. Face à une telle défense, il faut une précision diabolique sur les centres, pratiquement un concours de circonstance. Il y a tellement de présence, tellement de monde au marquage...


Même si Cole a encore fait du bien, le grand bonhomme de Chelsea, c'est Drogba. Il défend comme un lion et il est la seule arme offensive de l'équipe. Il a dû gagner cinquante ballons de la tête. Chevtchenko fait encore les mêmes appels que lui. Il peut être un bon contreur, mais il n'a pas l'efficacité de Drogba dos au but. Il faudrait qu'il joue dix mètres derrière pour récupérer des déviations. Or, c'est Cole ou Lampard qui récupèrent pour l'instant les déviations de Drogba. Liverpool a fait son match et s'est un peu laissé griser par sa conduite du jeu, s'est livré un peu trop. Mais l'équipe a aussi manqué de percussion - en partie à cause de défense de Chelsea - ce qui fait qu'elle s'est créée très peu d'occasions.»

oui chelsea a fait le plus dur en mettant ce but liverpool devra reagir chez lui

match que j'ai trouvé interrressant, mais l'autre demi etait plus technique

Comme il était trop beau le match MU-Milan Je me suis régalé, j'espère qu'on aura pareil au match retour, et que MU passera

L'autre demie était plus tactique ouais, mais tfaçon avec Chelsea faut pas s'attendre à du football champagne

superquentin21 a écrit:

Comme il était trop beau le match MU-Milan Je me suis régalé, j'espère qu'on aura pareil au match retour, et que MU passera

L'autre demie était plus tactique ouais, mais tfaçon avec Chelsea faut pas s'attendre à du football champagne

et bien ont est tout les deux d'accoird, moi aussi je me suis regalé avec <MU milan

Ouais complètement, j'ai adoré surtout Dida sur le 1° but, et les super techniciens Ronaldo et Kaka, trop forts

ANFIELD RÊVE D'UN REMAKE

Liverpool reçoit Chelsea ce soir avec le souvenir enivrant de la demi-finale de 2005, mais aussi avec un handicap d'un but qui s'annonce très difficile à combler (1-0).

Benitez le cartésien : « Nous jouerons à douze»

Certains jurent avoir senti le stade bouger. José Mourinho dit souvent que ce soir-là, c'est la public qui a marqué. Maniant l'humour, Rafael Benitez a présenté hier les fans de Liverpool comme les special ones (le surnom que s'est lui-même donné Mourinho à son arrivée à Londres...). Ce soir, Essien sera de retour, Drogba risquera une suspension pour la finale, Gerrard tiendra un match à sa dimension, mais le principal acteur de l'avant-match est un stade, il s'appelle Anfield, épicentre de la légende d'un club où les joueurs ne marchent jamais seuls. Liverpool rencontre Chelsea en demi-finale retour de la Ligue des champions. Chez lui. Ça peut tout changer. Il y a exactement deux saisons, dans des circonstances comparables, les Reds avaient battu les ''Indestructibles'' (1-0, 0-0 à l'aller) sur un shadow goal de Luis Garcia qui passera à la postérité. L'ambiance avait été indescriptible. Quelques jours plus tard, Raymond Domenech, en montrant son bras parcouru de frissons, nous confia qu'un cadeau à offrir était une place de match à Anfield.

Même le cartésien Benitez, furieux après le match aller raté par ses hommes à Stamford Bridge (défaite 1-0), au point d'avoir rendu ses joueurs livides au sorti du vestiaire, s'est laissé aller avant ce match qui peut l'envoyer en finale de la Ligue des champions pour la deuxième fois en trois saisons. «Nous jouerons à douze, assène l'Espagnol. Je sais qu'ils ont déjà joué ici et qu'il est facile de dire que ce ne sera pas un problème. La réalité, c'est que ça sera un problème pour eux. Jouer à Anfield sera très, très difficile pour Chelsea.» Le football a cette propriété de fait rêver les masses, mais Liverpool - Chelsea, bloc contre bloc, attise surtout la curiosité des maîtres tacticiens. La passion d'Anfield constitue son principal argument de vente. Tout se passe aussi comme si Liverpool avait compris, avec un peu de recul, combien sa tâche serait difficile malgré l'étroitesse du score de l'aller, rendant utile le recours aux arguments un brin irrationnels. «Il faut se mettre dans la tête que le public ne jouera pas» prévient Terry dans le camp d'en face. L'état des lieux est le suivant : Chelsea a un but d'avance (1-0) et Chelsea adore défendre. A l'aller, les Blues avaient même laisser aux Reds le contrôle du jeu pour les asphyxier grâce à leur supériorité physique, selon l'oeil de notre consultant Angel Marcos. Liverpool devra marquer au moins deux fois. Se livrer à un pressing de tous les diables contrarie un peu son tempérament d'équipe patiente et calculatrice.

Rarissime de battre Chelsea par deux buts d'écart

Battre Chelsea par deux buts d'écart est surtout une performance rarissime. Cela s'est produit deux fois sous l'ère Mourinho, en 172 matches, le 11 février 2006 à Middlesbrough (3-0) et le 20 janvier 2007 à... Liverpool (2-0), les deux fois en championnat. Et si Chelsea ouvre le score, il faudra marquer trois fois. «Nous n'avons pas joué à notre niveau à l'aller, tranche Benitez. C'était très décevant. Nous allons jouer à Anfield, et je suis convaincu que nous gagnerons.» Le nul de Chelsea contre Bolton (2-2), samedi, est venu mettre en doute l'idée que le commando de Mourinho était prêt à tous les combats. Les Blues ont multiplié les signes de nervosité, encaissant deux buts pour la première fois depuis plus de trois mois. Leurs titulaires ont joué - Ricardo Carvalho s'est blessé - pendant que la plupart des cadres de Liverpool préparaient la demi-finale retour. Mais Chelsea poursuit un but historique à son échelle : il n'a jamais joué de finale de Ligue des champions. Liverpool relève une autre défi intime : renverser un score à domicile pour la première fois depuis 1991-1992. Anfield saurait saluer la performance à sa juste valeur.

et l'arbitre belge debleckere arbitrera le match milan manchester demain

arbitrage de celui ci ont dira moyens, sans plus

Ouais, en tout cas Liverpool a sorti Chelsea aux tirs au but, je suis bien content, et au vu du match c'est plutôt mérité