Piquionne écarté du groupe

L'entraîneur de l'AS Saint-Etienne, Ivan Hasek, a dévoilé les noms des joueurs retenus pour affronter l'AS Monaco, dimanche. Outre les forfaits de Hautcoeur, Perrin, Bilos et Landrin, tous blessés, on peut noter l'absence de Frédéric Piquionne pour des raisons encore inconnues. Le bras de fer entre les dirigeants stéphanois et lyonnais lors de ce mercato hivernal, remporté par ceux de Sainté, aurait fortement atteint le moral de l'attaquant.

Et ben,elle aura était très lui cette affaire!!

Gilbert a écrit:

Et ben,elle aura était très lui cette affaire!!

Ouais, fn bon dans ce cas si ils écartent piquionne du groupe, pourquoi ne pas le laisser aller à Lyon...

Piquionne se dit blessé

Interrogé par Canal+ en marge de Saint-Etienne - Monaco, Frédéric Piquionne a nié avoir été victime d'une blessure diplomatique pour cette rencontre, dans le contexte de son possible transfert chez le voisin et rival lyonnais.

«C'est une blessure que je traîne depuis quinze jours, une tendinite à la cuisse, a-t-il éclairci. J'ai ressenti une pointe samedi. Je suis allé voir le "doc", qui a pris la décision de ne pas me faire jouer. Ce n'est pas du tout diplomatique, j'ai envie de travailler mais elle est tombée au mauvais moment.»

Sur un possible transfert à Lyon, Frédéric Piquionne oppose un «RAS», signalant simplement que l'intérêt «des grands clubs était flatteur, car il y a cinq ans (il) vendait des chaussures en Martinique». L'attaquat stéphanois a reçu le trophée UNFP du meilleur joueur de L1 du mois de décembre 2006.

Le meilleur joueur de décembre. (L'Equipe)

La question du possible départ de Frédéric Piquionne vers Lyon a conduit les deux co-présidents de l'AS Saint-Etienne à une mise au point autoritaire, dimanche, laissant clairement entrevoir une divergence de vues entre eux et leur attaquant-vedette. «Il sera à la disposition de son encadrement technique. S'il ne veut pas jouer, il y a la réserve et puis autre chose» s'estemballé Roland Romeyer. «Frédéric Piquionne n'est pas à vendre et restera à l'AS Saint-Etienne avec qui il a un contrat de deux ans et demi. Nous avons pris une décision ferme, définitive, et irrévocable. Ce n'est pas une question d'argent mais d'honneur. Nous sommes des patrons. Nous allons le démontrer».



Alors que Lyon n'a jusqu'ici formulé qu'une offre de 5,5 millions d'euros, ramenée à 4,65 millions après déduction des taxes selon les calculs de l'ASSE, les Verts se disent prêt à résister à toute surenchère. «Ce ne sera pas l'argent qui va conditionner les valeurs de l'ASSE, sinon elle sera en difficulté dans un proche avenir, s'engage Bernard Caiazzo. Nous devons montrer l'exemple à tous nos joueurs. Quand un club comme l'AS Saint-Etienne marche bien, s'il suffit qu'un autre plus riche aille voir directement un joueur à qui il reste plus de deux ans de contrat, au mépris des règlements, en leur faisant des promesses alléchantes à l'occasion d'un mercato d'hiver, il n'y aura plus d'ASSE».

Un lien avec la mauvaise passe sportive de l'ASSE
M. Caïazzo annonce aussi son intention d'écrire à la Ligue pour faire cesser cette «affaire Piquionne», qui «a assez duré» selon M. Romeyer. Les dirigeants stéphanois établissent un lien entre la pression entretenue par l'OL et la série de quatre défaites consécutives, toutes compétitions confondues, subie par l'équipe d'Ivan Hasek. «Nous avions un club qui fonctionnait bien, une équipe solidaire et voilà que l'on vient nous embêter».

Interrogé par Canal+, Frédéric Piquionne, blessé pour le match de dimanche contre Monaco (0-1), a opposé un «RAS» sur le sujet. Plus tôt dans l'après-midi, le président Aulas avait au contraire laissé entendre que le Stéphanois aurait bientôt quelque chose à signaler. «C'est un garçon intelligent et un bon joueur. S'il a des choses à dire, il les dira la semaine prochaine». A l'attention des dirigeants stéphanois, Gérard Houllier avait déclaré vendredi qu'il fallait rayer les mots «jamais et toujours» du vocabulaire de tout homme de football. Il avait comparé leur situation à la sienne au moment où Essien et Diarra avaient été sollicités par Chelsea et le Real Madrid. On connaît la suite. (Avec S. L. et AFP)


Voila comment réglé la question, suffit d'etre autoritaire

Le meilleur joueur de décembre. (L'Equipe)

La question du possible départ de Frédéric Piquionne vers Lyon a conduit les deux co-présidents de l'AS Saint-Etienne à une mise au point autoritaire, dimanche, laissant clairement entrevoir une divergence de vues entre eux et leur attaquant-vedette. «Il sera à la disposition de son encadrement technique. S'il ne veut pas jouer, il y a la réserve et puis autre chose» s'estemballé Roland Romeyer. «Frédéric Piquionne n'est pas à vendre et restera à l'AS Saint-Etienne avec qui il a un contrat de deux ans et demi. Nous avons pris une décision ferme, définitive, et irrévocable. Ce n'est pas une question d'argent mais d'honneur. Nous sommes des patrons. Nous allons le démontrer».



Alors que Lyon n'a jusqu'ici formulé qu'une offre de 5,5 millions d'euros, ramenée à 4,65 millions après déduction des taxes selon les calculs de l'ASSE, les Verts se disent prêt à résister à toute surenchère. «Ce ne sera pas l'argent qui va conditionner les valeurs de l'ASSE, sinon elle sera en difficulté dans un proche avenir, s'engage Bernard Caiazzo. Nous devons montrer l'exemple à tous nos joueurs. Quand un club comme l'AS Saint-Etienne marche bien, s'il suffit qu'un autre plus riche aille voir directement un joueur à qui il reste plus de deux ans de contrat, au mépris des règlements, en leur faisant des promesses alléchantes à l'occasion d'un mercato d'hiver, il n'y aura plus d'ASSE».

Un lien avec la mauvaise passe sportive de l'ASSE
M. Caïazzo annonce aussi son intention d'écrire à la Ligue pour faire cesser cette «affaire Piquionne», qui «a assez duré» selon M. Romeyer. Les dirigeants stéphanois établissent un lien entre la pression entretenue par l'OL et la série de quatre défaites consécutives, toutes compétitions confondues, subie par l'équipe d'Ivan Hasek. «Nous avions un club qui fonctionnait bien, une équipe solidaire et voilà que l'on vient nous embêter».

Interrogé par Canal+, Frédéric Piquionne, blessé pour le match de dimanche contre Monaco (0-1), a opposé un «RAS» sur le sujet. Plus tôt dans l'après-midi, le président Aulas avait au contraire laissé entendre que le Stéphanois aurait bientôt quelque chose à signaler. «C'est un garçon intelligent et un bon joueur. S'il a des choses à dire, il les dira la semaine prochaine». A l'attention des dirigeants stéphanois, Gérard Houllier avait déclaré vendredi qu'il fallait rayer les mots «jamais et toujours» du vocabulaire de tout homme de football. Il avait comparé leur situation à la sienne au moment où Essien et Diarra avaient été sollicités par Chelsea et le Real Madrid. On connaît la suite. (Avec S. L. et AFP)


Voila comment réglé la question, suffit d'etre autoritaire

bien parlé, si tout les patrons de clubs avaient ce raisonnement, ca serait bien

bravo

Citation :

. Ce n'est pas une question d'argent mais d'honneur. Nous sommes des patrons. Nous allons le démontrer».

l'honneur de pouvoir bien faire ch*** Aulas et l'ennemi lyonnais surtout. allez les :alien: