8° de finale CDL

L'affiche inattendue

Reims et Dijon, derniers rescapés de L2, vont tenter d'endiguer l'hécatombe mardi en huitièmes de finale respectivement face à un Monaco toujours fébrile et chez Sochaux. Les trois duels entre équipes de Ligue 1 seront dominés par une affiche inattendue entre Nancy et Toulouse, les deux équipes surprises du début de Championnat.Tenant du titre, le club lorrain bénéficie comme la saison dernière d'un tirage clément : dans son parcours victorieux, l'équipe avait disputé tous ses matches à domicile jusqu'au Stade de France. Le stade Marcel-Picot s'est même transformé en citadelle imprenable cette saison, puisque Nancy reste invaincu sur sa pelouse, y conquérant 16 de ses 19 points.

Mardi (20h00), Toulouse tentera de briser cette série avec quelques atouts en main, dont ses excellentes prestations en déplacement (victoires à Lille et Monaco, nul à Lyon). Elie Baup, entraîneur du TFC, reste néanmoins sur la défensive : «C'est le tirage le plus difficile que nous pouvions avoir. L'objectif, c'est de bien figurer. Il n'est pas facile d'enchaîner les matches avec un effectif réduit.» Un effectif fragilisé par le forfait en attaque de Johan Elmander et les incertitudes Achille Emana et Bryan Bergougnoux.

Rennes n'a pas gagné à Lille depuis 40 ans

Après deux victoires d'affilée à domicile qui lui ont permis de quitter la zone de relégation, Rennes a un gros défi à relever à Lille, une équipe qui l'avait battu en Bretagne en ouverture du Championnat et chez qui elle n'a plus gagné depuis la saison 1965-1966. Malgré l'accumulation des matches (L1, Ligue des champions), les Nordistes ne veulent pas négliger la compétition, selon Matthieu Bodmer: «Ce n'est pas dans la mentalité de l'équipe d'aborder une compétition avec moins de motivation. Cette année, nous aimerions justement faire quelque chose pour récompenser le LOSC.» Plus indécis, Le Mans-Lens sera l'occasion pour les Sarthois de renouer avec le succès à domicile, deux mois après leur dernière victoire contre Valenciennes (3-2).

Monaco attend l'effet Banide

Face à Dijon, club de L2, Sochaux aura les cartes en main à domicile avec un effectif au complet pour Alain Perrin. Touché face à Bordeaux (2-1) samedi, Karim Ziani, meilleur buteur du club avec 3 buts, est opérationnel. L'autre duel L1-L2 semble déséquilibré mais seulement en théorie. Sans fond de jeu et sans résultat (7 défaites en 10 journées de L1) depuis le début de saison, Monaco se déplace à Reims avec un nouvel entraîneur à la barre, Laurent Banide. l'ASM espère un électrochoc dès mardi chez une équipe, seulement septième de L2, mais qui n'a lâché aucun point sur sa pelouse (6 victoires en 6 matches). Défendant «un jeu offensif», le successeur de Laszlo Bölöni devrait privilégier un 4-4-2 (Roma - Modesto, Bolivar, Givet, Monsoreau - Gapké, Bernardi, Y.Touré, Meriem - Koller, Di Vaio). Pas surpris par le changement, les joueurs veulent rompre la série mais semblent avant tout concentrés sur le Championnat. Un match à Nantes les attend samedi, un duel de naufragés.

Lyon sur tous les fronts

Intenable en Championnat et impressionnant en Ligue des champions, Lyon accueille mercredi (21h00) le Paris-SG en huitièmes de finale de la Coupe de la Ligue avec la même ambition : gagner, comme toujours. Plus tôt dans l'après-midi, Saint-Etienne défie Marseille (17h00) et Auxerre reçoit Bordeaux (20h00).

Le onze lyonnais aligné au coup d'envoi contre le Paris-SG, mercredi, ne sera à coup sûr pas le même que celui qui a donné la leçon à Marseille, dimanche (4-1). Il sera même loin de celui qui règne sur le groupe E de la Ligue des champions (3 matches, 3 victoires, 8 buts marqués, aucun encaissé). Quoiqu'il en soit, la qualité et la profondeur de banc du quintuple champion de France en titre lui permettra de présenter une équipe compétitive et capable de répondre aux ambitions du club rhodanien : gagner, encore et toujours. Fred et Malouda, blessés, sont d'ores et déjà forfaits, alors que Juninho est suspendu. Gérard Houllier devrait en profiter pour relancer des joueurs revenant de blessure (Caçapa, Carew) ou de maladie (Tiago). Pour la motivation, Alou Diarra assure que «la Coupe de la Ligue est un objectif qui (leur) tient à coeur» et que les Lyonnais «ont envie d'aller au bout cette année».

En cas de nouveau succès, l'OL enregistrerait sa treizième victoire de la saison en... quatorze matches (9 succès, 1 nul en L1, 3 victoires en C1), et la douzième consécutive toutes compétitions confondues. De quoi donner le vertige à des Parisiens accrocheurs à Auxerre, dimanche (0-0), mais encore fragilisés par leur mauvais début de saison. Malgré tout, ils y croient. «C'est un match pour lequel nous n'avons rien à perdre car Lyon est au dessus du lot, mais essayer de battre l'OL à Gerland est un challenge excitant», reconnaît Armand. « Ils ne sont pas imbattables ! enchérit même le coach parisien, Guy Lacombe. Toutes les équipes ont des failles, Lyon aussi, il faut les trouver». Facile à dire...

Auxerre et Bordeaux veulent rebondir

Ce tour de Coupe de la Ligue est une bonne occasion pour Bordeaux et Auxerre de sortir la tête de l'eau. Ces deux formations sont en manque flagrant de confiance et doivent repartir de l'avant après une mauvaise passe en Championnat. Les Girondins viennent de vivre une semaine noire avec une défaite à domicile en Ligue des champions contre Liverpool (0-1) et une autre à Sochaux samedi en L1 (1-2). Au-delà des résultats, c'est également la prestation des joueurs de Ricardo qui est en cause. Le technicien brésilien attend toujours de voir son équipe évoluer au niveau de la saison passée. « C'est important de viser une coupe pour nos supporteurs, estime-t-il. On a besoin de retrouver notre solidité défensive, de garder la confiance même quand ça va mal. » Les Bourguignons se trouvent dans une situation quasi-similaire. La déception était présente dans les rangs ajaïstes après les défaites et les six buts encaissés à Rennes (1-3) et à Haïfa (1-3). Mais le nul contre le PSG (0-0) dimanche en Championnat a quelque peu rassuré Jean Fernandez, qui attend toutefois une confirmation. «Ne pas avoir perdu, ne pas avoir pris de buts devant Paris, c'est déjà un point positif avant de recevoir Bordeaux. Nous nous efforcerons une nouvelle fois de ne pas prendre de buts et surtout d'en marquer au moins un.» Micoud et Fernando pourraient s'ajouter aux absences de Planus, Jemmali et Smicer à Bordeaux alors que dans le camp adverse, Pedretti et Cheyrou pourraient être laissés au repos. Mignot et Jelen sont, eux, forfaits.

Des Verts très ambitieux contre l'OM

Saint-Etienne reçoit pour sa part l'Olympique de Marseille, une bête blessée après sa lourde défaite à domicile face à Lyon. Et les Verts, très ambitieux, comptent bien profiter de cet état fébrile pour accéder aux quarts de finale bien qu'ils ont déjà connu deux fois la défaite cette saison à domicile (contre Sochaux et Auxerre). La venue de l'OM à Geoffroy-Guichard représente «un grand challenge» pour l'entraîneur Ivan Hasek, qui sera cependant privé de son duo offensif Ilan-Piquionne. Heinz et Gomis auront donc l'occasion de mettre en lumière leur talent alors que l'Argentin Bilos devrait être titulaire pour la première fois dans le Chaudron. Malgré le faux-pas contre Lyon, Albert Emon veut voir son équipe rebondir très vite et ne compte pas, pour cela, bouleverser son équipe dans le Forez. «Cela va être dans la continuité et il faut simplement arriver à bien maîtriser cet événement, a ajouté Emon. Une victoire serait importante au niveau de la confiance et de la préparation du match à Nice». Cantareil et Cesar devraient remplacer Taïwo et Civelli, tous deux forfait.

reims , sochaux, om et ol sans problemes

OL je suis d'accord, Reims je sais pas car Monaco ne vaut pas un clou, l'OM passera pas avec leur défense passoire, pis Sochaux n'en parlons pas comme ils vont sortir honteusement

cest ce qu'on verra mais honte à toi si dijon perd

sochaux atomise dijon 3-0 pour le moment

et 5-0 j en connais un qui doit pleurer quel malheur je n ai aps tout vu réunion de dirigeant oblige mais bon un bon moment j imagine

Rennes est la seule équipe en déplacement à avoir validé son ticket pour les quarts de finale de la Coupe de la Ligue mardi. Les Rennais ont gagné à Villeneuve d'Ascq contre Lille (2-0 ap) alors que Reims a créé une autre mini surprise en éliminant Monaco (0-0, 4-3 tab). Qualifications de Nancy sur Toulouse (2-1), du Mans face à Lens (3-1) et de Sochaux contre Dijon (5-0).



La rencontre entre Nancy et Toulouse, deux européens virtuels en Championnat, constituait l'affiche de cette première journée des huitièmes. Victorieux du trophée en mai dernier, les Nancéiens se sont qualifiés pour les quarts de finale (2-1) bien que malmenés en seconde période. L'attaquant Nigérian Dosunmu (45e) et l'emblématique défenseur Cédric Lécluse (82e) se sont illustrés alors que le TFC a manqué plusieurs occasions sérieuses en première période par Akpa Akpro (4e, 22e), Fabinho et Bonnet (32e) puis en seconde période par Mathieu (74e) et Bergougnoux (81e). Les hommes d'Elie Baup ont fini par concrétiser en fin de match mais un peu tard par Bryan Bergougnoux (86e), déjà auteur d'un but magnifique samedi en L1. Le tenant du titre ira défendre son trophée au prochain tour sur la pelouse de Gerland ou du Parc des Princes, selon le vainqueur mercredi du match Lyon - PSG.

Monaco et Lille éliminés
Lille et Rennes avaient pris le parti de faire souffler une grande partie de leurs titulaires et les hommes de Claude Puel n'ont pas survécu à cette innovation (0-2). En manque de rythme et d'automatismes, les "titulaires d'un jour" n'ont pas fait vibrer le public de Villeneuve d'Ascq, c'est le moins que l'on puisse dire. Peu d'occasions pendant 90 minutes et une seule véritable à signaler en première période. Elle fut pour le Rennais Mvuemba, qui obligea Malicki à une parade (40e). Après la pause, la partie est restée équilibrée et la fin du temps réglementaire a toute juste été animée par un beau coup franc de Cabaye (77e) et une percée de Youla (81e). Mais lors de la prolongation, les Rennais de Pierre Dréossi se sont montrés plus réalistes et les jeunes ont pris le pouvoir. Moussa Sow a trouvé des espaces dans la défense du LOSC et a tranquillement ajusté Malicki d'un lob astucieux (103e), six minutes après l'expulsion du Lillois Vitakic. Et Sylvain Marveaux en a fait de même cinq minutes avant la fin (115e) devant un Claude Puel quelque peu dépité. Il y avait de quoi, le LOSC ne s'était plus incliné chez lui devant Rennes depuis quarante ans... Quelques heures seulement après le limogeage de Laszlo Bölöni, l'AS Monaco version Laurent Banide était très attendue à Reims. Malgré de bonnes intentions, les Monégasques ont une nouvelle fois déçu. Les joueurs du Rocher ont même vécu une nouvelle désillusion en se faisant éliminer chez le 7e de la L2. Les Rémois ont tenu 120 minutes avant de s'imposer lors de la séance des tirs au but. Et alors qu'ils sétaient qualifiés ainsi lors du tour précédent à Valenciennes, les Monégasques ont cette fois connu moins de réussite, l'Italien Di Vaio et le capitaine Gael givet ont raté leur tir.

Lens déçoit, Sochaux cartonne
Sans victoire depuis trois journées en L1 (2 nuls, 1 défaite), Lens n'a pas trouvé motif à se rassurer après son voyage dans la Sarthe. Le Mans, encore plus mal après plus d'un mois sans succès, s'est imposé sans grande difficulté face à un Racing mal inspiré qui a craqué trois fois lors des 32 premlières minutes. L'arbitre a accordé deux penalties au Manceaux (transformés par Bangoura et Romaric) alors que Bangoura a inscrit un doublé entre ses deux sanctions. Pour Lens, Daniel Cousin a sauvé l'honneur à cinq minutes de la fin. Les joueurs de Frédéric Hantz se déplaceront dans le Doubs en quarts de finale pour y affronter Sochaux, qui n'a pas fait durer le suspense à Bonal en réalisant un joli carton contre Dijon (5-0). La hiérarchie a été totalement respectée puisque les joueurs de Rudi Garcia ont coulé face à des Sochaliens en pleine réussite et qui ont remporté leur troisième match d'affilée après le victoires à Nantes et contre Bordeaux en Championnat. Ancien attaquant reconverti milieu défensif, Badara Sene a fait parler la poudre avec un but d'entrée de jeu (un joli lob à la 7e minute) puis un autre juste d'une magnifique reprise de volée sur un centre d'Isabey (36e). Ce dernier a inscrit le second but du match après un mauvais renvoi du portier dijonnais et une hésitation de la défense (27e). En seconde période, Karim Ziani (69e) et Valérie Mezague (90e) ont enfoncé le clou.

reglisse251 a écrit:

et 5-0 j en connais un qui doit pleurer quel malheur je n ai aps tout vu réunion de dirigeant oblige mais bon un bon moment j imagine

J'ai pas pleuré, mais bon tite déception quand même, bien joué à vous et bonne continuation Par contre j'ai pas de mots pour décrire la prestation monégasque...

Marseille reprend l'eau

Sévèrement battus à domicile par Lyon, dimanche (1-4), les Marseillais ont à nouveau bu la tasse à Saint-Etienne, mercredi en huitièmes de finale de la Coupe de la Ligue (1-4). Un score sévère au final pour des Marseillais bien moins dominés que dimanche mais qui ont payé cash leur fébrilité défensive.

Les choses démarraient pourtant assez bien pour les hommes d'Albert Emon, privés de Ribéry et Niang, laissés sur le banc au coup d'envoi. Plutôt bien en place, ils tentaient avant tout de se rassurer dans le jeu, et notamment en défense. Même si la première alerte était stéphanoise, par Heinz qui manquait de peu le cadre (3e), c'est bien les Marseillais qui trouvaient le chemin des filets en premiers, par Maoulida (24e). Un but finalement refusé pour un hors jeu justifié. Saint-Etienne faisait alors étalage de son réalisme en profitant des errements défensifs de son adversaire. Privés de leur duo d'attaque habituel Ilan-Piquionne, mais avec un Gomis très remuant, les Verts, pourtant pas vraiment transcendants jusque-là, transformaient deux occasions en but avant le repos. D'abord par Diawara (33e), suite à un un coup franc, puis sur un raid solitaire de Hautcoeur. (45e) Entre-temps, le jeune Guarin avait trouvé le poteau de Carrasso des 25 mètres.

Albert Emon tentait bien de regonfler le moral de ses troupes à la pause, mais les Olympiens mettaient un genou à terre cinq minutes après le retour des vestiaires sur un missile de Gomis (50e). La messe semblait dite jusqu'à ce penalty accordé aux Olympiens pour une main involontaire de Camara dans la surface. Pagis transformait (55e) et redonnait espoir aux siens l'espace de quelques minutes. L'entrée en jeu de Ribéry était vite nuancée par l'expulsion de Wilson Oruma. Saint-Etienne inscrivait son quatrième but sur penalty par Bilos, comme pour mieux imiter son vieux rival lyonnais. Les Verts auraient alors pu corser encore un peu plus l'addition, mais l'essentiel était fait. Pour Marseille, qui risque d'avoir pris un nouveau coup au moral, le déplacement à Nice, dimanche, s'annonce délicat.

Ah ils sont bons les marseillais

l OM qui reste dans des résultats constenets lol

Ouais, le début de saison laissait augurer qq chose de pas trop mal, mais apparament non, entre la sortie pitoyable en UEFA et les 8 buts pris en 2 matchs, c'est pas génial

ben 5-0 ca n'est pas beaucoup plus glorieux et c'est meme humiliant pour des soi disants prfessionnels

Ouais peut-être, alors j'imagine la honte qu'a du ressentir le Standard après le 7-1

Bon pour revenir au sujet, Bordeaux a sorti Auxerre 1-0 () et Lyon a éliminé Paris 2-1, avec des buts de Wiltord aux 88° et 89° minutes...

Lyon est vraiment incroyable

Menés et malmenés pendant 88 minutes par une équipe du Paris-SG pourtant fortement remaniée, Lyon a renversé la vapeur dans les deux dernières minutes du match grâce à un doublé de Sylvain Wiltord. L'OL remporte du même coup son douzième match consécutif. Un peu plus tôt dans la journée, Bordeaux s'est repris à Auxerre (1-0) et l'OM a sombré à Saint-Etienne (1-4).

Avec Pauleta, Kalou ou encore Rothen sur le banc au coup d'envoi, le Paris-SG semblait a priori incapable d'inquiéter cet ogre lyonnais, où seuls Fred et Malouda, blessés, et Juninho, suspendu, étaient absents. Cette jeune équipe parisienne, avec trois joueurs issus du centre de formation (Mulumbu, Chantôme, Dramé), allait pourtant mener la vie dure au quintuple champion en titre. Bien en place et faisant preuve d'une grosse solidarité, le Paris-SG faisait d'abord le dos rond pour contenir les offensives lyonnaises, plus fréquentes que réellement dangereuses, et regagnait les vestiaires sur un score de parité somme toute logique.

Le début de la deuxième période était même à l'avantage des Parisiens. Mais ni Diané ni Pancrate ne réussisaient à ouvrir la marque. Ce n'était que partie remise. Rodriguez, lancé dans la profondeur, provoquait un penalty sur une sortie de Vercoutre. Paulo Cesar ne se faisait pas prier pour transformer la sentence. Lyon prenait alors complètement le contrôle du jeu et du ballon. Paris se contentait de défendre, ce qu'il faisait plutôt bien d'ailleurs, et voyait la qualification s'approcher à grand pas au fur et à mesure que le chrono s'écoulait. Alonzo sortait même un superbe arrêt pour détourner une frappe puissante de Benzema (86e). Mais c'était sans compter sur la volonté du champion : ne jamais céder pour gagner, encore et toujours. Sylvain Wiltord, capitaine d'un soir, se chargeait alors de forcer la décision en inscrivant un incroyable doublé, malgré une position de hors jeu sur le premier, en deux petites minutes pour permettre aux siens de signer leur douzième victoire de rang. Impressionnant...

Bordeaux se reprend et enfonce Auxerre

Plus tôt dans la soirée, Auxerre accueillait Bordeaux pour un choc entre deux équipes actuellement en plein doute. Comme on pouvait le craindre, le spectacle n'a pas été souvent au rendez-vous à l'Abbé-Deschamps. Les hommes de Ricardo, qui restaient sur deux revers consécutifs à Sochaux (1-2) et contre Liverpool (0-1), ont toutefois su se montrer suffisamment réalistes et courageux pour rentrer en Gironde avec leur billet pour les quarts en poche (1-0). L'unique but de la rencontre a été inscrit par Darcheville (22e) de l'extérieur du droit au terme d'un superbe jeu en triangle à une touche de balle avec Micoud, très bon ce soir, et Wendel. Auxerre, mal en point après trois résultats décevants (1-3 à Rennes et à Haïfa, 0-0 face au Paris-SG), n'a presque rien montré. Seul Pieroni (1ère, 75e) et Cheyrou (65e), se sont montrés dangereux sans toutefois trouver la faille. Malgré la très bonne entrée en jeu de Kahlenberg, c'est même Bordeaux qui a été tout proche de creuser l'écart. Mais Laslandes, sur penalty, a complètement manqué le cadre.

Les Parisiens étaient visiblement très en colère à la fin du match de Coupe de la Ligue à Lyon (1-2). Jérôme Rothen rappelle que «déjà après le Trophée des Champions, nous avions les boules avec ce penalty plus que litigieux. Cette fois, à la 88e minute, il y a ce but hors-jeu. C'est le second match contre eux au sortir duquel nous avons vraiment les boules». Il évoque ensuite le différent avec Patrice Bergues, l'adjoint de Gérard Huollier. «Il y a eu des mots malheureux en fin de match qui ne sont pas dignes de l'OL, surtout lorsque l'on sait qu'ils ont l'arbitre de leur côté, il vaut mieux se taire».

Guy Lacombe, le coach parisien, ne décolèrait pas non plus. «Le scénario est écrit ici à Lyon. Il est déjà annoncé. Il est difficile de faire autre chose que de perdre». Il pense que l'arbitre aurait dû expulser Vercoutre sur le penalty «ou il n'accorde pas le penalty». «Ensuite, le premier but que nous concédons, il y a une position de hors-jeu. Lyon a toujours raison. Il n'y a pas de problèmes. Les médias sont avec eux. Au Trophée des champions aussi».

Citation :

Il pense que l'arbitre aurait dû expulser Vercoutre sur le penalty «ou il n'accorde pas le penalty».

La je suis vraiment pas d'accord, si il sort le goal pour ça...c'est Rodriguez qui n'aurait jamais du arriver jusqu'à la mi-temps, c'est un vrai boucher ce gars là...

ou il siffle penalty et sort le carton rouge car faute du dernier defenseur, ou il laisse dérouler l'action, la il a fait que la moitié d'une des solution

Ouais mais il a eu plutôt raison, sortir le goal pour ça c'était trop sévère, et ne pas accorder de péno ne l'était pas assez

quand il y'a des penalty pour tirage de maillot, les arbitres s'appuient sur le reglement pour sifflé, jusque la ok, mais dans ce cas, içi on a une faute du gardien, en position de dernier defenseur dans la surface de réparation, le reglement est clair carton roue + penalty, donc on peut affirmer que le reglement n'a pas était appliqué, pareil pour le hors jeu de Wiltord

yankee50 a écrit:

quand il y'a des penalty pour tirage de maillot, les arbitres s'appuient sur le reglement pour sifflé, jusque la ok, mais dans ce cas, içi on a une faute du gardien, en position de dernier defenseur dans la surface de réparation, le reglement est clair carton roue + penalty, donc on peut affirmer que le reglement n'a pas était appliqué, pareil pour le hors jeu de Wiltord

en tyant qu'ancien arbitre je suis totalement d'accord avec toi

heureux d'avoir trouver un point d'accord entre nous deux

ouais fin lyon arrive à se sortir de tous les mauvais pas meme malmenés pendant 90 minutes

Ouais, mais alors on sort Rodriguez en 1° mi-temps pour les agressions sur Réveillère et Cris, et tout rentre de l'ordre

ouais fin le passé c'est le passé hin

Ouais, Lyon reste impérial en quelque sorte, ils sont partis pour faire une super saison...