1/4 de finale LDC

Vi, quand il a marqué à la 93°, j'ai pensé à vous les belges

superquentin21 a écrit:

Vi, quand il a marqué à la 93°, j'ai pensé à vous les belges

Cela me fait plaisir ces deux goals.Par contre,contre le Portugal,il est à peu près dans la meme situation,mais rate la balle du 0-1.

Bouuu mauvais, comme quoi il préfère se consacrer à son club plutôt qu'à l'équipe nationale

ben l'equipe nationale pour le moment elle n'existe pas alors que son club est dans de meilleures conditions

LA ROMA N'A PEUR DE PERSONNE

Après avoir éliminé Lyon, qu'elle tenait pour la meilleure équipe du tournoi, l'AS Roma ne fait aucun complexe à l'heure de recevoir Manchester United, tracassé par une infirmerie bondée. Chelsea - Valence s'annonce comme un match entre équipes jumelles (20h45).

MANCHESTER peut rééditer l'exploit de 1999

Depuis que José Mourinho a imposé son savoir-faire au sommet de l'Europe en 2004 avec Porto, la question est rituelle chaque saison en Ligue des champions : qui sera le ''nouveau Porto'' ? Autrement dit : quelle équipe déjouera les pronostics devant les grosses écuries ? Lyon est un candidat perpétuel, mais doit attendre 2008. Liverpool a réussi le coup en 2005. Villarreal, voire Arsenal, y ont cru en 2006. Cette saison, toutes les pistes mènent à Rome, impressionnant vainqueur de Lyon en huitièmes de finale (0-0, 2-0). L'exceptionnelle qualité de jeu déployée à Gerland a fait de l'équipe italienne la curiosité de ces quarts de finale. Les joueurs, assurés de terminer deuxièmes de la Serie A, se sont convaincus que plus rien n'était impossible au moment de recevoir la légende Manchester United. L'équipe de Spalletti a tous les atouts : un style affirmé, un joueur hors norme (Totti), des champions du monde (Perrotta, De Rossi), des grognards (Panucci), de formidables talents en éclosion (Mexès, Chivu, Mancini, Tonetto), un public, et une faim de louve pour son premier quart de finale depuis 1984. «C'est une superbe satisfaction d'être dans le Top 8, mais on veut surtout continuer», résume Totti.

Or, si le match a déjà fait quelques étincelles (accrochages Totti - Ferguson, échanges de communiqués autour de la sécurité des supporters à Rome...), la Roma sait qu'elle ne sera pas tout à fait elle-même sans son milieu chilien Pizzarro et son latéral gauche Tonetto. Le premier est suspendu, l'autre blessé. Leur absence va obliger Spalletti à revoir tout son équilibre défensif côté gauche. Là où évoluera la tornade Cristiano Ronaldo, symbole du renouveau de MU cette saison. L'équipe d'Alex Ferguson est toujours en course pour un triplé sur le modèle de celui réussi en 1999. Leader en Angleterre, Manchester semble chercher un second souffle depuis de longues semaines sur le plan de la qualité de jeu. Mais ses limites du moment n'altèrent pas (encore) la qualité de ses résultats. Son onze-type sera encore plus modifié que celui de Rome (Vidic, Evra, G. Neville absents), mais sa profondeur de banc est incomparable. Manchester, éliminé en première phase la saison passée, poursuit cette saison une mission : se racheter un crédit international. Les Red Devils n'ont plus atteint les demi-finales depuis 2002 et n'étaient plus en quart depuis 2003.

CHELSEA - VALENCE, deux équipes jumelles

Valence, qui vit sur la nostalgie de ses deux finales perdues en 2000 et 2001, a un peu le même souci. Il y a forcément plus de modestie au moment d'aller à Stamford Bridge défier Chelsea, seule équipe capable de concurrencer Manchester en Angleterre, et candidat naturel pour un voyage à Athènes le 23 mai. Drogba, Chevtchenko, Lampard, Ballack et Makelele seront titulaires mercredi. Sans son meilleur buteur Morientes, blessé en sélection, Valence misera sur sa cohésion et un David Villa très en forme pour mériter la comparaison avec le double champion d'Angleterre. Au moment du tirage, l'affiche avait été saluée comme une rencontre entre deux équipes jumelles. L'équipe de Mourinho a sûrement été plus forte qu'aujourd'hui ces deux précédentes saisons. Mais à l'heure où le manager portugais est chahuté en interne par le trio Abramamovitch - Arnesen - de Vissier, ses joueurs montrent chaque semaine qu'ils sont prêts à se dépouiller pour installer l'idée qu'il doit rester. Avec ce résultat provisoire : Chelsea a gagné la Coupe de la Ligue et reste en lice pour un quadruplé unique, celui que seul le Celtic Glagow a réussi en 1967.

Les deux clubs anglais engagés mercredi n'ont pas suivi la voie tracée par Liverpool. Un Chelsea poussif a concédé le nul contre Valence (1-1) et Manchester United a été battu au stade olympique par une Rome décidément très séduisante (2-1).

AS Roma - Man. Utd : 2-1
Chelsea - Valence : 1-1

La centième victoire de l'AS ROMA en coupe d'Europe

L'hypothèse de la présence simultanée de trois clubs anglais en demi-finale n'est toujours pas exclue, mais elle a pris un peu de plomb dans l'aile mercredi, vingt-quatre heures après la démonstration de Liverpool sur la pelouse du PSV Eindhoven (3-0). Ni Manchester ni Chelsea ne l'ont emporté. Les deux patrons de la Premiership se sont condamnés à une très grosse performance dans six jours, et ce ne sera pas un cadeau contre deux outsiders de cette Ligue des champions, la Roma et Valence, encore séduisants chacun à leur manière. Ce n'est après tout qu'une demi-surprise : ils ont sorti du tournoi Lyon et l'Inter Milan, auxquels la chronique promettait la lune. Manchester United a confirmé sa légendaire fébrilité sur les pelouses italiennes en concédant, au stade olympique de Rome, sa neuvième défaite en douze visites. Bien sûr, l'expulsion précoce, mais justifiée, de son maître à jouer Paul Scholes a pesé lourd (35e). Mais sur le fond, MU en est réduit un peu au même point que Lyon lors du huitième de finale retour à Gerland : obligé de reconnaître la supériorité de son adversaire.

Si l'essentiel de la premire période ne fut qu'un duel musclé et progressivement équilibré par Manchester, le spectacle qui suivit l'ouverture du score de Taddei, sur un centre lumineux de Mancini (43e, 1-0) confirma que l'équipe de Spalletti avait un style épatant, basé sur un pressing très haut et une disponibilité permanente. Réorgansiée en 4-1-4-1, avec Wilhelmsson remplaçant Pizarro pour faire le nombre, la Roma étala aussi un certain courage après l'égalisation, elle aussi remarquable, signée Rooney. La tête du Bad Boy trompait Doni après un centre tendu de Solskjaer (60e, 1-1). Six minutes plus tard, à peine entré en jeu, Vucinic taclait dans le but un ballon boxé par Van der Sar après une frappe puissante de Mancini (2-1). Le Monténégrin et Totti manquèrent ensuite un break qui aurait été plutôt mérité, mais il en aurait fallu davantage pour empêcher les tifosi de lever le pouce vers le haut à l'issue de la centième victoire romaine dans une coupe d'Europe. Le bémol de la soirée vient de la suspension programmée de Perrotta pour le match retour. Côté mancunien, Louis Saha a effectué son retour à la compétition en fin de rencontre.

VALENCE sort son joker : David Silva

A la différence de Manchester, Chelsea pourra s'en sortir au match retour avec un nul prolifique (2-2, etc.). Ce n'est pas exaetement une spécialité maison, et ce n'est pas non plus ce que promet l'affrontement bloc contre bloc à Valence. Les deux buts inscrits à Stamford Bridge (1-1) ont ressemblé à des petits miracles. Valence a ouvert la marque à la 30e par une frappe sublime du remplaçant de Morientes, le jeune David Silva, 21 ans, excentré côté gauche. Drogba a égalisé de la tête à la 53e minute, son premier but en sept matches, profitant de la mollesse conjuguée d'Ayala et Canizares, le gardien valencian ayant lui-même frappé un dégagement directement sur Ashley Cole ! Sans Makelele, laissé sur le banc par Mourinho, Chelsea a confirmé n'être en ce moment qu'une équipe puissante, volontaire et bien outillée, mais sans grande cohésion. Valence cultive sa réputation de terreur des clubs anglais. Le VCF n'a perdu aucun de ses huit derniers matches contre un rival d'outre-Manche, encaissant seulement deux buts. Ça sent la qualification.

Dix-huit blessés à Rome, un grave

De brèves échauffourées ont mis aux prises des supporters de l'AS Roma et de Manchester United peu avant la rencontre de Ligue des champions entre les deux équipes, mercredi. Elles ont fait dix-huit blessés dont un grave, selon l'agence italienne Ansa. Le supporter le plus sérieusement blessé est un Anglais qui aurait été poignardé au niveau du cou. Il a été transporté dans un hôpital de la capitale. Un établissement romain a par ailleurs indiqué avoir accepté un homme blessé à l'abdomen.

Les autres personnes ne seraient en revanche que légèrement blessées. Dans un premier temps, en début de soirée, sept blessés légers avaient été rapportés, dont au moins trois anglais. Selon les premières informations, environ 300 supporteurs anglais, dont beaucoup semblaient ivres, sont entrés en contact avec des tifosi romains dans les proches alentours du stade Olympique, une heure environ avant le début du match. Les forces de l'ordre sont alors intervenues, chargeant à plusieurs reprises. L'ambiance serait redevenue normale vers 20 heures.

Dans le stade en revanche, à la mi-temps du match, la chaîne Sky Sport a montré une intervention de la police dans la partie des tribunes réservée aux Anglais. Une dizaine de policiers ont notamment chargé en matraquant. Tout a commencé après que des tifosi de la Roma eurent lancé des objets en direction des Anglais. Ceux-ci ont cherché à répliquer. A la suite de ces incidents, la police a arrêté trois Anglais, dont l'un semblait légèrement touché au visage.

L'alcool, responsable des heurts ?

Alors qu'elle est prohibée les soirs de match, la vente d'alcool serait à l'origine des échauffourées survenues mercredi soir à Rome entre supporters de la Roma et de Manchester United. Cette information a été relayée jeudi matin par la presse italienne. «En dépit de l'ordonnance du préfet de Rome interdisant la vente de boissons alcoolisées à emporter dans tous les bars de Rome, les bières et boissons fortes s'achetaient sans problème», écrit Il Messaggero, le quotidien de la capitale italienne.

«Trois camions-bar distribuaient même tranquillement les boissons à quelques mètres du stade», poursuit le journal. «En dépit des indignations du maire de Rome et des supporters, les craintes des Anglais se sont révélées fondées», regrette le journal spécialisé Gazzetta dello Sport.

dommage pour rome de se prendre ce but... scholles fait des erreurs de debutant en se prenant le rouge; impardonnable!

bon résulatta de valence aussi qui me suprenne

Ouais, mis la Roma à mon avis va peiner au retour, MU à Old Trafford va sûrement gagner Et je vois bien Valence passer

valence j'aimerais bien qu'il passe et roma manU j'aime aucune des 2 equipes alors

Moi c'est pas que j'aime Valence, c'est que je veux que Chelsea sorte avec perte et fracas Des demies avec Liverpool, Bayern, Valence et Roma

ouias pas des grands club mais bon

C'est ceux qui ont affiché les meilleurs niveaux de jeu cette année


L'UEFA ouvre une enquête

L'Union européenne de football a ouvert une enquête jeudi après les incidents qui ont émaillé mercredi soir à Rome la rencontre AS Rome - Manchester United (2-1), en quart de finale aller. «Une enquête est ouverte. Nous attendons les rapports de nos représentants officiels pour voir si nous ouvrons une procédure disciplinaire», a indiqué le porte-parole de l'UEFA. Ce dernier a ajouté que la décision de mener ou pas une procédure disciplinaire sera prise après Pâques.

La police italienne est visée

Manchester United a de son côté fustigé la «réaction excessive» de la police italienne qu'elle accuse d'avoir «frappé sans discrimination» ses supporters. «Les scènes dérangeantes qui ont été vues au Stade Olympique choquent chacun à Old Trafford», a écrit le club dans un communiqué. «Le club accueille donc chaleureusement la décision du gouvernement (ndlr: italien) d'étudier les incidents et Manchester United va recueillir les témoignages de ses supporters et les remettre au ministère de l'Intérieur (ndlr: britannique) ».

L'ancien arbitre international suédois, Anders Frisk, a pour sa part imputé jeudi à la police la responsabilité des incidents. Durant le match, les policiers sont intervenus sans ménagement dans la tribune où avaient pris place les supporters anglais pour mettre fin à des jets de projectiles entre fans adverses. «La police italienne a réagi très très agressivement à un ou deux incidents. C'est ce qui a enflammé la situation», a expliqué à la chaîne Sky Sports l'ancien arbitre qui assistait au match. Il a également mis en cause les mesures de sécurité : «Quand je suis entré dans le stade, on ne m'a pas du tout fouillé. Et si vous ne fouillez pas les gens, ils amènent des bouteilles et des projectiles. C'était une erreur monumentale», selon le Suédois.

Les stats inquiétantes de MU

Thoériquement, une équipe qui a perdu 2-1 un match aller de Coupe d'Europe a une chance sur deux de renverser le score au match retour, grâce au fameux but à l'extérieur. Le chiffre est de 53% tous tours et toutes coupes d'Europe confondues. Il est de 50% s'agissant des quarts ou demi-finales de C1. Le dernier précédent enregistré, l'an passé entre l'Inter Milan et Villarreal (2-1, 0-1), abonde dans le sens de l'équipe qui reçoit au retour : Manchester United n'a aucune raison objective de douter avant de recevoir l'AS Roma, mardi.

Les chances pour Manchester United de retrouver en demi-finale une vieille connaissance - le Bayern qu'il l'avait battu en finale en 1999 (2-1) ou l'AC Milan, dernière équipe à avoir violé Old Trafford (1-0 en 2005, 8e de finale) - apparaissent plus restreintes face à ce constat : les Red Devils sont des spécialistes de l'élimination à domicile au match retour ! C'est arrivé quatre fois sous le mandat d'Alex Ferguson, qui avait arraché ses qualifications à l'extérieur en quart et en demi lors de son triomphe de 1999.

En 2004, MU avait perdu 2-1 à l'aller chez le Porto de Mourinho en huitième de finale avant de laisser passer sa chance au retour (1-1). Quelques saisons plus tôt, c'est en quart de finale que Manchester United avait échoué deux fois après avoir ramené de bons 0-0. En 2000, un but célèbre de Trezeguet avait permis à Monaco de se hisser en demi-finale à Old Trafford (1-1). En 1998, le pouvoir offensif du Real Madrid ne s'était embarrassé d'aucune réserve (3-2). Un an plus tôt, après une courte défaite la pelouse du Borussia Dortmund en demi-finale aller (1-0), Manchester avait cédé sur le même score à Old Trafford (1-0) après une pluie d'occasions. Un chiffre intéressera peut-être l'AS Roma : trois fois sur quatre, le vainqueur a ensuite remporté le trophée.

Les entraîneurs disent souvent qu'il est facile de faire avouer aux statistiques ce qu'on attend d'elles. Pour Manchester, il y a aussi celle-ci : Manchester United a remporté ses quatre derniers matches européens à domicile et n'a perdu qu'un seul de ses trente-et-un derniers.

DES ANGLAIS ET DES LATINS SONT SUR UN BATEAU

Habités par leur lutte pour le titre en Angleterre, duel relancé ce week-end, Manchester United et Chelsea doivent négocier deux rendez-vous européens périlleux ce mardi (20h45). MU doit gagner contre Rome (1-2 à l'aller) et Chelsea devra au moins marquer à Valence (1-1).

MANCHESTER UNITED tire la langue

La toute-puissance de l'Angleterre en Ligue des champions - trois qualifiés sur huit en quarts de finale - fait de Manchester United - Chelsea une finale plausible pour le 23 mai à Athènes. Si les deux clubs doivent attendre samedi pour savoir s'ils ajouteront une finale de Cup (le 19 mai à Wembley) à leur crunch du 9 mai en championnat, ils seront fixés dès ce soir en ce qui concerne l'Europe. Pour tout dire, leur présence dans le dernier carré ne va pas de soi à quelques heures de leur quart de finale retour. Manchester United a un but à remonter à l'AS Roma (1-2 à l'aller) et Chelsea devra au moins marquer un but à Valence (1-1), qui n'en a encaissé qu'un seul chez lui lors de ses six derniers matches européens. C'est peut-être pour MU que la conquête s'annonce la plus difficile. Alex Ferguson assurait samedi, dans L'Equipe magazine, que son équipe actuelle lui semblait construite du même métal que celle du triplé historique de 1999. Parmi ses sources d'optimisme, il y a celui que l'Ecossais considère comme le «meilleur joueur du monde», Cristiano Ronaldo, qui tiendra à Old Trafford l'une des premières occasions de sa jeune carrière de prouver qu'il est dans cette classe là.

Vainqueur à l'aller, l'équipe de Luciano Spalletti, entièrement dévouée à la cause européenne, a tout pour marquer l'année de son empreinte, surtout qu'elle a retrouvé David Pizarro, son maître à jouer. «Nous savons de quoi l'AS Roma est capable depuis sa victoire à Lyon (2-0), reconnaît Ferguson, qui fut le premier à considérer l'OL comme un vainqueur potentiel, il y a trois ans. Nous allons analyser ce match.» L'Ecossais aura aussi passé beaucoup de temps sur les cassettes de sa propre équipe, rattrapée depuis une semaine par l'étiolement de son niveau de jeu, perceptible depuis le début de l'année. A la défaite contre Rome s'est ajoutée samedi un revers en championnat contre Portsmouth (1-2). L'avalanche de blessures qui accable les Red Devils (Saha, Vidic, G. Neville encore absents) a fini par se traduire par une inefficacité et il n'est pas dit que tout revienne d'un seul coup sans Paul Scholes, suspendu.


CHELSEA et VALENCE : déjà l'arbitrage

Valence - Chelsea s'annonce plus serré et aussi indécis qu'à l'aller. C'est un match qui peut être approché comme le serait une campagne électorale : il y a les promesses et la prudence avec laquelle il faut les considérer. Même si un 0-0 lui suffit, Valence n'annonce aucune intention de fermer le jeu. Spécialiste du 1-0 "gagne-petit", Chelsea promet aussi de se découvrir pour arracher une demi-finale programmée contre Liverpool (3-0 à Eindhoven à l'aller). Fidèle à lui-même, José Mourinho a préparé les retrouvailles avec les Reds, après la demi-finale perdue de 2005 (0-0, 0-1), en proclamant lundi que Liverpool était favori pour le titre. Le FC Valence ne lui en laissera sans doute pas le loisir s'il continue sa campagne de démolition des clubs anglais en Coupe d'Europe. L'équipe de Ludovic Butelle n'a perdu aucun de ses dix derniers matches contre un adversaire de Premiership. Mais le héros de la partie ne trouve peut-être pas dans l'une ou l'autre des deux équipes. Chacun à leur façon, Mourinho et Flores ont déjà fait des commentaires sur la future prestation de l'arbitre, M. Vassaras. L'un et l'autre se méfient de la pression que l'adversaire ne manquera pas de lui mettre. C'est sûrement ce qui s'appelle faire progresser le débat.

Manchester United se qualifie en battant la Roma 7 à 1, c'est vraiment impressionnant....et Chelsea passe aussi grâce à la victoire 2-1 à Valence, avec un but d'Essien à la 90°

2 sur 2 pour les anglais

ouias j'ai ragardé le match de MAN U et un fesival de but; les romains n'étaient nul part

et chelsea qui se qualifie

Chelsea passe de justesse, mais sur le match c'était mérité (surtout la 2° MT) Ils ont bien dominé les pauvres valenciens qui n'ont existé que par moments...

Et la Roma les 20 premères minutes les ont tués^^

heureusement que lyon n est pas passé sinon ca aurait été une dizaine lol

Ouais, MU devait être assez imbattable, et tout ça mine de rien ça veut dire que Lille n'est pas si mauvais que ça, ils n'ont pris que 1-0 là bas

ouias mais la scholles ne jouait pâs hier et ca a du changer la donne car ils ont mieux joué

Ouais fin ils ont surtout eu une réussite maximale, et Rome a eu beaucoup d'occases en 1° mi-temps le 4° juste avant la pause a été fatal

pffft deja 0-2 pour les milanais c'est pas possible

Ouais, et le Bayern aura du mal, parce que Milan va défendre comme il sait le faire, attendons Van Buyten le sauveur

le messie oui pour une fois j'espere qu'il va enir et qu'on va pas l'attendre 2000 ans