Finale Coupe de la Ligue

La finale de cette coupe opposera donc le PSG au Racing Club de Lens. Elle se déroulera le 29 mars au Stade de France.

Les paris sont ouverts, qui remportera cette coupe selon vous?

on a le meme point de vue Spqt

Ouah, la probabilité me parait assez faible pourtant je suis pas très sûr de moi 2-1 pour Lens en prolong me semble pas mal, même si Paris me semble un peu mieux armé que Lens...

Finale de Coupe de la Ligue oblige, les matches Paris-SG - Strasbourg et Saint-Etienne - Lens, comptant pour la 31e journée de Ligue 1, ont été reportés au mercredi 9 avril, à 18h30. Monaco - Rennes, prévu le dimanche 30 mars, aura lieu le lundi 31 mars, à 19h00.

PARIS AU FINISH

Le Paris-SG s'est imposé (2-1) face à Lens grâce à un penalty sévère transformé par Bernard Mendy dans le temps additionnel. Auparavant, c'est Pedro Miguel Pauleta qui avait mis son équipe sur de bons rails jusqu'à l'égalisation d'Eric Carrière. Après 1995 et 1998, c'est la troisième fois que le club de la capitale remporte le trophée. Le RCL quitte lui le Stade de France avec un grand sentiment d'injustice.

Luyindula : «Il y a eu contact»

Les Lensois ont beau crier au scandale, Peguy Luyindula n'en démord pas. Il y a bien eu contact entre Vitorino Hilton et lui sur le penalty ayant offert la victoire aux Parisiens dans le temps additionnel face à Lens, samedi en finale de la Coupe de la Ligue (2-1). «Je ne suis pas là pour dire s'il y avait penalty ou pas, a déclaré le joueur en zone mixte. C'est à l'arbitre de juger. Je fais un appel en profondeur, je touche le ballon avant lui (Hilton, NDLR) et je passe devant lui. Après, j'arrive dans la surface et là il y a contact. Quand on est en pleine vitesse, il suffit de pas grand chose pour être destabilisé. Je pense que l'arbitre a eu raison de siffler le penalty».


Les Lensois remontés

Un corner non sifflé suite à une frappe de Demont détournée par Landreau, puis un penalty guère évident pour une faute d'Hilton. Voilà ce que les Sang et Or, qui avaient clairement repris la main après une première période délicate, retiendront de la finale de la Coupe de la Ligue. Ils sont unanimes et scandalisés. «Je pense que tout le stade a bien vu qu'il y avait corner, raconte Demont. Derrière cette action, il y a penalty de sifflé. Je ne peux pas dire s'il y a penalty ou pas, car je suis assez loin. Si l'arbitre a pris cette décision, il faut "en avoir", être sûr de soi. Ca abîme un peu le spectacle. Il a fait son choix, il a sifflé. Après, sur le penalty, Mendy prend l'élan et s'arrête derrière. Au niveau du règlement, on n'a pas le droit.»

Quant à Eric Carrière, auteur du but nordiste, il estime que «mieux vaut avoir perdu avec une certaine fierté que d'avoir perdu en étant passé au travers. C'est de bon augure avant l'opération maintien, même si ça ne veut pas dire que ce sera facile.» Enfin, le président lensois, Gervais Martel, a suggéré de Monsieur Duhamel fasse passage pendant six mois en National. «Il faut vraiment être c... pour siffler là.» Et de conclure : «Pour siffler un penalty imaginaire juste avant la prolongation, s'il a un doute, il n'a pas le droit de faire ça ou alors il doit expulser Hilton. Ce soir, l'arbitre a été à côté de ses pompes.»

Certes il y a 2 fautes d arbitrage la 1 ere c est le corner la aussi il faut penser qu il y a un assistant qui aurait pu lui signaler mais non ca va dans la tronche de l arbitre central ensuite il y a ce péno imaginaire certes mais sans les ralentis désolé moi je siffle aussi le parisien joue bien le coup mais bon apres il y a un truc a critiqué c est la position de l arbitre mais a vitesse réelle je comprends qu il siffle même si je suis bien d accord que c est degueulasse pour les lensois qui méritte leur victoire

Surtout je vois pas pourquoi on fait tout ce pataquès pour un pauvre corner :/ Le péno les lensois ont raison de l'avoir mauvaise, mais faut pas démonter un arbitre et son assistant parce qu'ils n'ont pas vu que Landreau effleurait le ballon (d'ailleurs moi non plus j'avais pas vu qu'il la touchait, en plus la balle partait au dessus...)

OK il y'a contact Luyindula, mais le contact commence 10 metres avant la surface, donc si il arrive à tenir debout 10m, il peut continuer son action et pas s'écrouler des qu'il voit la ligne.

le PSG encore une fois préservé, car jouer une prolongation le samedi soir et affronter Strasbourg pour le maintien mercredi, ça n'aurait pas du tout été la meme chose.

Gros connerie du PSG, but de Carrière, et une banderole de 25m déployée dans le virage parisien :

" pauvres, pédophiles, chomeurs, consanguins : Bienvenue chez les ch'tis. "

question, comment une banderole de 25m de ce genre peut entrer dans le stade de France ?

Ouais enfin l'éternel débat sur l'arbitrage va recommencer une nouvelle fois. C'est vrai que Mr Ledentu a un peu gâché la fin de match en sifflant ce péno litigieux, mais ça n'empêche pas qu'on a vu un beau match de foot, qui a basculé sur un détail comme c'est souvent le cas

Pour la banderole c'est une honte, les parisiens devraient être sévèrement punis pour ce genre de choses...Je ne vois pas pourquoi il y a encore des supporters pour raconter ce genre de conneries, ça venait des Boulogne Boys j'imagine?

Les Lensois portent plainte

Le Racing Club de Lens a porté plainte auprès du Tribunal de grande instance de Béthune pour discrimination. Cette mesure fait suite à l'affichage par des supporters parisiens d'une banderole durant la finale de la Coupe de la Ligue, samedi soir au Stade de France. Il était écrit dessus : «Pédophiles, chômeurs, consanguins : bienvenue chez les Ch'tis».

Guy Delcourt, le maire de Lens, a quant à lui annoncé qu'il porterait plainte contre X suite cette banderole. «Je porte plainte contre X au tribunal de grande instance de Béthune comme maire de Lens et au Tribunal de grande instance de Paris comme député. J'ai averti et reçu le soutien de toute la classe politique de la région», a déclaré M. Delcourt ce dimanche. «Je demande la citation du président de la République M. Nicolas Sarkozy, Mme Dati, ministre de la Justice, et M. Laporte, secrétaire d'Etat à la Jeunesse et aux Sports avec lequel j'ai parlé ce matin».

Selon lui, les stadiers n'auraient pas réagi assez rapidement pour faire disparaître la banderole. Delcourt a par ailleurs rendu hommage au président Nicolas Sarkozy, qui a réagi très vite et demandé à ce que la banderole soir retirée.

Le PSG sanctionné ?

La commission de discipline de la Ligue doit entamer jeudi l'examen du dossier. Elle dispose d'un large éventail de sanctions contre le Paris-SG, de l'amende au retrait de point(s) en passant par le huis clos et la suspension de terrain. Y compris en Championnat, même si les incidents ont eu pour cadre la Coupe de la Ligue. En revanche, le règlement stipulant qu'un match arrivé à son terme ne peut pas être rejoué, les appels à une finale-bis lancés par le député-maire de Lens Guy Delcourt (PS) et le médiateur de la République Jean-Paul Delevoye n'ont a priori aucune chance d'être entendus.

Trois suspects en garde à vue

L'étau se resserre autour des Boulogne Boys, club de supporters du PSG pointé du doigt dans l'affaire de la banderole injurieuse du Stade de France. Tandis que trois personnes ont été mises en garde à vue dès jeudi matin, une perquisition a eu lieu vendredi dans la matinée au Parc des Princes, dans un espace réservé à l'association. Des indices ont été trouvés et les langues commencent à se délier.

La Brigade de répression de la délinquance contre la personne (BRDP), dépendant de la police judiciaire parisienne, est passée à la vitesse supérieure. L'enquête progresse vite. Même s'ils ne fréquenteraient pas régulièrement la tribune Boulogne, les trois suspects interpelés, actuellement auditionnés, devraient ainsi être déférés au parquet dans la journée.

Des traces de peintures suspectes

Dans le même temps, une perquisition diligentée vendredi dans un local situé au Parc des Princes, et mis à la disposition des Boulogne Boys, a permis à la BRDP de trouver des traces de peinture suspectes. Ces indices s'ajoutent aux déclarations compromettantes d'un stadier, qui aurait indiqué que la banderole avait été confectionnée dans ces mêmes lieux.

Déjà sous la menace d'une dissolution des associations mises en cause, Philippe Pereira, le porte-parole de la tribune Boulogne, a même pris les devants en annonçant lui-même jeudi soir «l'autodissolution» de trois groupements de supporters, pourtant historiques. Les Boulogne Boys, les Gavroches et les Rangers ont pris cette décision pour devancer toute interdiction qui pourrait être prononcée dans les jours à venir par Michèle Alliot-Marie, la ministre de l'Intérieur. Une décision lourde de conséquences pour les intéressés, puisque par cet acte, ils signent en partie leurs aveux. Mais ceci ne les empêchera en rien de continuer de venir assister aux matches.