dopage cyclisme

Les limites des contrôles inopinés sont atteintes ici malheureusement...

Mazzoleni suspendu deux ans

Eddy Mazzoleni a été suspendu deux ans pour son implication dans l'affaire Oil for drug par la commission de discipline de la Fédération italienne. Troisième du Tour d'Italie 2007, l'ancien coureur d'Astana, qui avait été suspendu à titre provisoire avant, quelques jours plus tard, de résilier son contrat, pourrait mettre un terme à sa carrière à 34 ans.

Mazzoleni dispose de dix jours pour faire appel, de même que Domenico Quagliariello, lui aussi sanctionné selon les requêtes du procureur antidopage du Comité national olympique italien (Coni). Mais l'ancien coureur Ceramica Flaminia a lui été suspendu à vie à cause de la récidive. L'enquête Oil for drug, portant sur un présumé réseau de dopage à l'EPO, avait été lancée en 2004 et était centrée sur les relations de plusieurs athlètes avec le Dr Santuccione. Parmi les nombreux athlètes impliqués se trouvent notamment le cycliste Danilo Di Luca, vainqueur du Giro 2007, et le perchiste Giuseppe Gibilisco, champion du monde 2003 de la discipline. Di Luca a été suspendu trois mois dans le cadre de cette affaire, Gibilisco, deux ans.

Jan Ullrich paie cher

L'ancien vainqueur du Tour, Jan Ullrich, s'est acquitté lundi d'une forte amende en échange de l'abandon de la procédure pour escroquerie dont il fait l'objet depuis juillet 2006. Le parquet de Bonn n'a pas révélé le montant exact de l'amende, indiquant seulement qu'il était «à six chiffres», soit compris entre 100 000 et 1 000 000 euros. Le délit de dopage n'existant pas dans le droit allemand, Ullrich faisait l'objet d'une plainte pour escroquerie au détriment de son employeur, T-Mobile, qui l'avait licencié en juillet 2006. En vertu de cet accord à l'amiable, Ullrich n'est plus considéré coupable d'aucun délit.

Sur son site internet, le cycliste allemand se montre très satisfait de cette issue : «Le paiement de cette amende n'est pas une reconnaissance de ma culpabilité (...) Cela permet de libérer ma famille de la pression liée à cette procédure.» Alors que des poches de sang correspondant à son ADN avaient été retrouvées dans le cabinet du docteur Eufemiano Fuentes à Madrid, Ullrich a toujours nié s'être dopé. «Je n'ai jamais trompé personne durant toute ma carrière, ni porté préjudice à quiconque, déclare-t-il. J'ai toujours été un sportif loyal, mes victoires sont le résultat d'un travail acharné et de ma passion pour mon sport.»

Malgré cet abandon de procédure, Ullrich n'en a pas fini avec la justice. Deux autres affaires le concernant plus ou moins directement sont actuellement instruites. À Hambourg, le tribunal de grande instance s'est saisi d'une plainte d'Ullrich lui-même contre l'expert allemand de la lutte antidopage, Werner Franke, qui affirme que l'ancien leader de T-Mobile a versé 25 000 euros au Dr Fuentes en 2004. L'autre procédure en cours concerne la clinique universitaire de Fribourg, soupçonnée d'être au coeur d'opérations de dopage au profit des coureurs de la formation Telekom devenue T-Mobile en 2004.

Danilo Di Luca acquitté

Le coureur italien Danilo Di Luca a été acquitté mercredi à Rome par le juge du Comité olympique italien (Coni). Il risquait deux ans de suspension pour dopage après un contrôle suspect lors le 30 mai 2007 après la 17e étape du Tour d'Italie. Les analyses de Di Luca avaient révélé des valeurs hormonales anormalement basses, équivalentes à celles d'un enfant, avait relevé la presse, laissant penser que le coureur aurait reçu après l'étape une perfusion d'eau ou de sérum physiologique

Condamné à deux ans de suspension par le parquet du comité olympique italien, Di Luca a toujours nié et avait fait appel, et l'affaire était donc réétudiée devant le juge de dernière instance en matière de dopage du CONI. Incapables de se prononcer, les juges de dernière instance avaient demandé une nouvelle expertise, menée par trois médecins.

Petacchi suspendu un an

Après de nombreux rebondissements et autres recours, l'affaire Alessandro Petacchi a sans doute connu son épilogue avec la décision du Tribunal arbitral du sport, qui a suspendu pour un an le coureur italien suite à un contrôle positif au salbutamol lors du Tour d'Itale 2007.

Petacchi avait été blanchi par la Fédération italienne de cyclisme mais le Comité olympique italien (CONI), qui avait requis une suyspension d'un an, avait contesté la décision devant le TAS l'été dernier. Le coureur sera dans les faits suspendu jusqu'au 31 août prochain car il a déjà fait l'objet de suspensions préventives. Il voit également annulées ses cinq victoires d'étape lors du Giro 2007.

L'Italien avait été contrôlé positif le 23 mai à l'issue de la 11e étape qu'il avait remportée. Ses urines contenaient un taux de salbutamol de 1320 nanogrammes par millilitre, le seuil toléré étant de 1000 nanogrammes. Il n'avait ensuite pas pu prendre part au Tour de France. Le salbutamol, médicament utilisé pour soigner l'asthme, est considéré comme une substance spécifique par l'agence mondiale antidopage (AMA). Il est interdit au delà d'un certain seuil lorsqu'il n'est pas assorti d'une autorisation d'usage thérapeutique. Selon les doses, il est considéré comme ayant des effets anabolisants.

La FCI avait considéré que le contrôle positif de Petacchi était «la conséquence de l'inhalation d'un produit thérapeutique, des faits qui ne constituent pas une violation des règlements antidopage», le coureur étant asthmatique. La semaine dernière, Petacchi avait annoncé qu'il serait forfait pour la 91e édition du Giro, dont le départ sera donné samedi à Palerme, en raison d'une bronchite virale.

Le panel de trois arbitres du TAS réuni en audience le 2 avril dernier a conclu que Petacchi «n'avait pas démontré que la concentration de salbutamol avait été causée par une inhalation conforme à son AUT mais que la surdose n'avait pas été prise dans l'intention d'améliorer la performance. Considérant que le coureur n'a commis aucune faute significative ou négligence, le TAS a fixé la période de sa suspension à un an. Etant donné que Petacchi n'a pas participé à des compétitions entre le jour de son contrôle et la date de la décision de la FCI, le TAS a décidé de réduire de deux mois de la durée totale de la suspension à subir».

Kashechkin blanchi

La Fédération kazakh (CFRK) a classé sans suite le dossier d'Andrey Kashechkin après son contrôle antidopage positif de l'été dernier et lui a donné le feu vert pour pouvoir recourir, a annoncé l'avocat du coureur.

La décision a été prise le 8 avril dernier, a précisé le cabinet d'avocats Guardamagna, en citant la conclusion de la Fédération: "La CFRK n'a pas les éléments nécessaires pour ouvrir une procédure disciplinaire pour dopage contre M. Andrey Kashechkin. En conséquence, il est libre de pouvoir courir." Kashechkin a été limogé par l'équipe Astana l'été dernier, après la confirmation de sa positivité (transfusion sanguine).

Une drole d histoire que j ai étendu . Un cycliste italien de la gerolsteiner a été suspendu par son équipe apres que son pere qui venait l encourager pour le GIRO ait été arreté avec en sa possession 80 comprimés de viagra et il se demande si le viagra ne serait pas utiliser pour booster les perfs en tout cas le viagra est sur la liste de sproduits interdits donc peut être de nouvelles histires de dopage

Ou alors peut-être simplement le père allait à une partouze après Ok je sors ---> []

tous chargés sur le tour cette année, et l'année prochaine, pareil, Armstrong revient