Infos Cyclisme

Vi, je pense d'ailleurs que les échantillons des autres dopés potentiels seront vite confirmés

du boulot pour les avocats tout ca

bah ils vont s'en mettre plein les poches

ulrich est quand meme de plus en plus dans le pétrin

Ullrich très critiqué

«Le sport allemand a définitivement perdu un de ses héros», à l'image du quotidien populaire Bild, la presse attaque, comme jamais auparavant, «Jan Ullrich le menteur», au lendemain de la confirmation par la justice qu'il était bien en relation avec le docteur Eufemiano Fuentes.

«Jan Ullrich a détruit à jamais son propre mythe», accuse Bild dans un éditorial: le quotidien le plus lu d'Allemagne a, depuis le début de l'affaire Fuentes/Ullrich en mai, eu une position ambivalente à l'égard du coureur cycliste le plus titré et célèbre du pays.

C'est le seul journal à qui Ullrich acceptait encore de se confier, pour y dénoncer les «manipulations» et affirmer son innocence, pour y montrer son bonheur de jeune marié après les semaines de détresse suite à son exclusion par son équipe T-Mobile du Tour de France 2006.

Depuis mardi et l'annonce du parquet de Bonn sur les neuf poches de sang retrouvées au cabinet de Fuentes attribuées à Ullrich, Bild en a assez.

«On ne veut plus entendre (tes théories sur des manipulations), Jan. C'est tout simplement insupportable et embarrassant», accuse le quotidien populaire.

«Une chose est désormais sûre», martèle de son côté le Berliner Zeitung: «Ullrich a menti: durant sa carrière en affirmant qu'il était propre, quand Fuentes a été arrêté et même au moment de ses adieux larmoyants fin février à Hambourg».

Ullrich n'est pas encore convaincu de dopage: le parquet de Bonn se contente d'observer que son sang était «entreposé» au cabinet de Fuentes et ses défenseurs affirment très sérieusement dans Bild qu'il y a autant de chance que «ce soit à des fins de dopage que pour en faire du boudin».

Mais «il est convaincu de mensonge», observe Die Welt: «Il n'était pas sans faiblesses à la différence d'un Lance Arsmtrong implacable machine à gagner et c'est pourquoi il était aimé, il était un peu l'un d'entre nous».

«Ce mensonge est la dernière déception dans une relation entre lui et nous qui avait déjà été, comme aucune autre avant, bien mise à l'épreuve», conclut le quotidien.

Ballan, la victoire du 'Flahute'
Alessandro Ballan a remporté la 91ème édition du Tour des Flandres. Au terme d'un sprint à deux, l'Italien a devancé Leif Hoste, à nouveau deuxième. Tom Boonen s'est révélé trop court.
Quelque 200 coureurs ont pris le départ du Tour des Flandres. Sept hommes signaient ensuite la première échappée. Notre compatriote Evert Verbist se retrouvait ainsi en tête aux côtés du Néerlandais Tjallingii, de l'Italien Franzoi, des Français Mangel et Boucher, du Biélorusse Kuschynski et enfin de l'Espagnol Garcia Acosta.

Ces sept coureurs allaient ensuite compter jusqu'à 13 minutes d'avance. Derrière, le peloton était secoué par plusieurs chutes, dont celles de Boonen (qui a dû recevoir des soins au poignet), Cancellara (sans gravité) et Zabel (plus sérieusement touché).


Ballan: 'Un rêve de gagner le Tour des Flandres'

La course demeurait limpide, les formations des leaders jouant leur rôle et rapprochant le peloton sur le groupe de tête. Le Suisse Cancellara lançait toutefois la grande explication à 35 km de l'arrivée. Le leader de la formation CSC sortait un grand numéro avec Steegmans dans sa roue. Ce duo revenait ainsi sur les sept échappés.

BALLAN FAIT LE MUR

Ce nouveau groupe de neuf coureurs était toutefois à son tour repris au pied du Mur de Grammont, où l'on assistait à un regroupement général. Boonen, assez discret jusque-là, prenait les devants et haussait le ton. Ballan le suivait avant de distancer le double vainqueur. L'Italien de la formation Lampre faisait d'ailleurs la différence, seul Leif Hoste limitant les dégâts pour accrocher la roue de Ballan quelques mètres après le sommet.

Derrière ce nouveau duo Ballan-Hoste, le groupe de poursuivants ne parvenait jamais à revenir, malgré plusieurs tentatives. La victoire se jouait donc à deux.

Refusant de passer devant sous la flamme rouge, Hoste lançait le sprint de loin. Il distançait Ballan mais l'Italien s'arrachait pour finalement devancer notre compatriote de quelques centimètres sur la ligne. Ballan décrochait ainsi la plus belle victoire de sa carrière et réussit le doublé après avoir déjà remporté les Trois Jours de La Panne plus tôt cette semaine. Hoste se classe pour sa part deuxième pour la troisième fois en quatre ans...

Une superbe course,baucoup de chutes et un Ballan impressioant!

J'ai pa vu, yavait le tennis Mais Boonen ne gagne pas

normal il a chuté et s'est blessé au poignet

Ouais mais il gonfle, ça va jamais soit il a des pb de santé, soit il chute

Unibet de nouveau écartée

L'équipe Unibet a été écartée des classiques de la Flèche Wallonne et Liège-Bastogne-Liège, selon une annonce des organisateurs de l'épreuve lors de la reconnaissance des pavés de Paris-Roubaix. Une décision justifiée par le fait que la loi belge est identique à la loi française concernant les paris, a expliqué l'organisateur (ASO) des deux classiques, qui a déjà refusé la présence de cette équipe sur Paris-Nice et Paris-Roubaix.

L'équipe belgo-suédoise est parrainée par une société de paris en ligne, une activité qui reste interdite sur le sol français. Le groupe avait saisi la jsutice afin de pouvoir participer à Paris-Nice, mais avait été débouté. En revanche, la formation avait pu participer au Tour des Flandres dimanche dernier.

Gand-Wevelgem - Les Belges attendus

Tom Boonen (Quick Step) partira favori de la semi-classique Gand-Wevelgem prévue mercredi. Après une déception au Tour des Flandres avec la victoire de l'Italien Alessandro Ballan (Lampre), le cycliste belge espère renouer avec le succès. La course, dont l'issue se joue souvent sur un sprint, est destinée aux routiers-sprinteurs. Le parcours ne présente pas de difficultés majeures mis à part la double ascension du mont Kemmel.

«Je me sens capable de rouler, mais j'ignore comme cela peut évoluer», affirme Boonen. Son coéquipier Gert Steegmans est également prétendant à la victoire tout comme la jeune garde (Devolder, Gilbert, Nuyens) Mais la concurrence italienne, très présente déjà sur le Tour des Flandres, est devenue une réalité. Même si Ballan est reparti, son compatriote Daniele Bennati, en grande forme, prendra le départ. Troisième de l'épreuve en 2005 le sprinteur Alessandro Petacchi a également le profil pour s'imposer. Parmi les rouleurs, figure en bonne place le talentueux Filippo Pozzatto (Liquigas), vainqueur du Het Volk en mars dernier.

Comme à son habitude, la CSC aligne une équipe redoutable composée de Fabian Cancellara, Stuart O'Grady et le jeune espoir argentin Juan José Haedo. La Discovery Channel présente elle aussi des arguments a faire valoir avec le Lituanien Tomas Vaitkus qui ne cesse de surprendre depuis le début de la saison. Les chances françaises reposent sur Jimmy Casper (5e en 2004) et la jeune classe, Anthony Geslin, William Bonnet ou encore Sébastien Chavanel.

boonen goo il va encore gagner comme l'E3

Gaëtan a écrit:

boonen goo il va encore gagner comme l'E3

Non,Gilbert va tous les suprendre!!!

gilbert il est bon mais le problème il ne sait pas finir

Gaëtan a écrit:

gilbert il est bon mais le problème il ne sait pas finir

Oui,il lui manque de la résistance.Mais dans une ou deux années,il l'aura et Liège-Bastogne-Liège sera à lui!

Ouais, il faut lui faire un entrainement foncier Moi je dis Boonen est favori mais comme ils disent pourquoi pas un rital

ouais ils sont en forme les ritals pour le moment

Mais je me pose toujours la question: on dit des ritals ou des ritaux?

Pis pourquoi pas un français alors

Révélation du printemps, Marcus Burghardt a remporté Gand-Wevelgem. L'Allemand s'est imposé avec quelques mètres d'avance sur Roger Hammond et Oscar Freire.

Burghardt et Hammond heu-reux à l'arrivée. (photo photonews)
La 69-ème édition de Gand-Wevelgem s'est élancée sans Daniele Bennati, victime d'un début de dysenterie, cité comme le principal favori. Le peloton n'en avait cure et démarrait pied au plancher, à en juger par les 49 kilomètres parcourus lors de la première heure.

Les premières tentatives étouffées dans l'oeuf, il fallait attendre que se dégage un trio pour assister à la première échappée digne de ce nom. Roger Hammond, Christophe Mengin, et Florent Brard allaient compter une avance maximale de plus de dix minutes. Ils roulaient ainsi en tête durant la majeure partie de la journée, le peloton se rapprochant progressivement.

Dans la première descente du Mont Kemmel (au sommet duquel Tom Boonen passait en cinquième position), un bidon provoquait une chute spectaculaire avec Jimmy Casper et Wilfried Cretskens comme principales victimes. Le second (et dernier) passage dans le Mont Kemmel donnait également lieu à une chute. Les principaux favoris passaient sans mal.

Loin de ces considérations, Hammond, Mengin et Brard voyaient leur avance diminuer au fil des accélérations et autres démarrages en tête du peloton. La jonction devenait réalité à 25 km de l'arrivée: Ventoso, Freire et Burghardt reprenaient en effet les hommes de tête pour composer un nouveau groupe de cinq hommes, Brard lâchant prise.

L'entente s'avérait alors parfaite, si bien que le quintet tenait en respect le peloton des favoris et se disputait la victoire à Wevelgem. Marcus Burghardt anticipait le sprint final en démarrant peu avant le dernier kilomètre. Pour ne plus être rejoint. L'Allemand de la T-Mobile s'imposait avec quelques mètres d'avance sur son équipier Roger Hammond et sur Oscar Freire, troisième.

Pas mal, doublé de la T-Mobile Mais il est où Tom, et ils sont où les belges?

Demain Paris-Roubaix,un petit prono:

1)Hoste
2)Cancellara
3)Boonen

boonen ne va rien faire je vois bien freire moi

Freire ne la fait pas.

C'est qui Hoste?? Moi je sens bien notre ami Tom, pis Cancellara bien sûr

ben boonen n'est plus à considéré comme un véritable sprinter non plus